Tout le monde connaît les produits Armor Lux, notamment grâce à la fameuse marinière Bretonne qui a tant de succès, et maintenant grâce aux bonnets rouges.
Mais savez-vous d'où vient le nom de cette entreprise ?
En 1938, un Suisse fasciné par les pays Celtes et directeur d'une bonnetterie(Walter Hubacher) et un Breton (Charles Perrenot) qui travaillaient tous deux à Belfort décident de s'implanter en Bretagne, à Quimper pour créer leur entreprise, car la région est très éloignée des conflits qui se préparent à l'Est, et qu'un autre Breton propose son aide financière. La société s'appellera : "La bonnetterie d'Armor" (et s'appelle toujours ainsi aujourd'hui), et aura pour marque "Armor-Lux" (lumière de Bretagne, et jeu de mot avec "luxe", car l'objectif était de produire des sous-vêtements haut de gamme). Les débuts seront assez difficiles, à cause de la pénurie et des Allemands qui voulaient réquisitionner les métiers à tisser, mais Hubacher a fait jouer sa nationalité suisse et la neutralité de son pays pour conserver les biens de l'entreprise, ce qui a permis à la Bonnetterie d'Armor de survivre à la guerre (sans collaborer).
Sources : http://www.quimper.maville.com/actu/actudet_-Michel-Perrenot-le-fils-d-un-des-trois-fondateurs-se-souvient-des-premieres-annees-_-732797_actu.Htm
Mais savez-vous d'où vient le nom de cette entreprise ?
En 1938, un Suisse fasciné par les pays Celtes et directeur d'une bonnetterie(Walter Hubacher) et un Breton (Charles Perrenot) qui travaillaient tous deux à Belfort décident de s'implanter en Bretagne, à Quimper pour créer leur entreprise, car la région est très éloignée des conflits qui se préparent à l'Est, et qu'un autre Breton propose son aide financière. La société s'appellera : "La bonnetterie d'Armor" (et s'appelle toujours ainsi aujourd'hui), et aura pour marque "Armor-Lux" (lumière de Bretagne, et jeu de mot avec "luxe", car l'objectif était de produire des sous-vêtements haut de gamme). Les débuts seront assez difficiles, à cause de la pénurie et des Allemands qui voulaient réquisitionner les métiers à tisser, mais Hubacher a fait jouer sa nationalité suisse et la neutralité de son pays pour conserver les biens de l'entreprise, ce qui a permis à la Bonnetterie d'Armor de survivre à la guerre (sans collaborer).
Sources : http://www.quimper.maville.com/actu/actudet_-Michel-Perrenot-le-fils-d-un-des-trois-fondateurs-se-souvient-des-premieres-annees-_-732797_actu.Htm