Les notes de musiques françaises (Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si) proviennent des premières syllabes d’une chanson religieuse du XIe siècle, l’Hymne de Saint Jean-Baptiste. C'est Guido D'Arezzo qui les a nommées en fonction de ce champ :
qui signifie : “Afin que tes serviteurs puissent chanter à gorge déployée tes accomplissements merveilleux, ôte le pêché de leurs lèvres souillées Saint Jean.” Chaque vers de cet hymne commence par un son qui monte chaque fois d’un degré, le "Ut" se transformant plus tard en Do car plus facile à solfier (chanter avec les notes).
Donc, plus clairement :
(Ut=Do) Ut queant laxi
(Re) Resonare fibris
(Mi) Mira gestorum
(Fa) Famuli tuorum
(Sol) Solve polluti
(La) Labii reatum
(Si) Sancte Johannes(=Iohannes)
On notera que cette façon de nommer les notes est particulière à la France, puisque dans la notation internationale, on ne se permet pas cette originalité :
a=la
b=si
c=do
d=ré
e=mi
f=fa
g=sol
On commence par le "la", parce que le "la" est utilisé pour accorder les instruments (d'où l'expression "donner le la".
Ut queant laxisResonare fibrisMira gestorumFamuli tuorumSolve pollutiLabii reatumSancte Iohannes
qui signifie : “Afin que tes serviteurs puissent chanter à gorge déployée tes accomplissements merveilleux, ôte le pêché de leurs lèvres souillées Saint Jean.” Chaque vers de cet hymne commence par un son qui monte chaque fois d’un degré, le "Ut" se transformant plus tard en Do car plus facile à solfier (chanter avec les notes).
Donc, plus clairement :
(Ut=Do) Ut queant laxi
(Re) Resonare fibris
(Mi) Mira gestorum
(Fa) Famuli tuorum
(Sol) Solve polluti
(La) Labii reatum
(Si) Sancte Johannes(=Iohannes)
On notera que cette façon de nommer les notes est particulière à la France, puisque dans la notation internationale, on ne se permet pas cette originalité :
a=la
b=si
c=do
d=ré
e=mi
f=fa
g=sol
On commence par le "la", parce que le "la" est utilisé pour accorder les instruments (d'où l'expression "donner le la".